Les faciès de la destinee
La nuit tombait sur Venise, et le lieu s’illuminait sous la éclaircissement vacillante des lanternes suspendues au-dessus des médiateurs. Sur la place San Marco, une généralité masquée s’agitait en calme, secrète derrière des parures luxueuses, glissant via les ruelles pavées métrique le grand bal qui se tenait au palais ducal. L’aristocrate Ludovico Rosetti, avec lequel la popularité le précédait dans tous les cercles mondains, se tenait à l’entrée, tenant entre ses toi un masque d’or adroitement ouvragé. Il l’avait admis d’un mystérieux artisan dont personne ne semblait embrasser l'appellation. Lorsqu’il le posa sur son face, une étrange conscience le parcourut. Le velours intérieur s’adaptait à merveille à sa peau, tels que s’il avait duré mélangé sur mesure. Il se dirigea mesure le large hall, où la concert enivrante et les rires feutrés des convives s’entremêlaient dans un tourbillon d’opulence. Mais en croisant son rayonnage dans le miroir d’un salon personnel, un frisson glacial lui parcourut l’échine. Ce n’était pas son portrait qu’il voyait. Le planche montrait un être humain plus âgé, aux bouille tirés, le regard gorgé de émoi et de regrets. L’image vacilla un moment, tels que une onde sur l’eau, premier plan de recommencer son aspect normale. Confus, il détourna les yeux, se demandant s’il était victime d’une illustration provoquée par la clarté des chandeliers. Pourtant, lorsqu’il se dirigea pour gagner un autre glace, un autre mine apparut, plus inexpérimenté cette fois, dédaigneux, mais étrangement conscience. Ludovico se rendit compte tandis que son masque n’était pas un simple accessoire de bal. Il ne cachait pas son personnalisation, il révélait des chemins présentes, des reflets de ce qu’il aurait du être, ou de ce qu’il deviendrait. Son cœur s’emballa. Si n'importe quel minois correspondait à une éternité potentielle, auxquels était son véritable futur ? Dans un tel instant de suspicion, un espèce humaine de son rangée devrait ramasser des explications dans la voyance par téléphone sérieuse, espérant qu’un cartomancie lointain éclaire la signification de ces voyances troublantes. Mais ce masque semblait naviguer au-delà des prédictions performants. Il ne montrait pas ce qui allait affecter, il rapportait une alternative. Alors qu’il avançait par la foule masquée, tout banquise devenait un carrefour d’avenirs incertains. Et plus il observait ces reflets mouvants, plus il réalisait que sa avenir n’était par contre pas en plus tracée qu’il l’avait grandement cru.La amphithéâtre continuait de vibrer marqué par la luminosité des chandeliers, alors que les clients masqués évoluaient par exemple des spectres au sein du sujet se dérangeant. Chaque pas de Ludovico le rapprochait d’un frais banquise, et tout étagère semblait enfoncer un doigt plus son empreinte identitaire. Il n’était plus sûr d’être lui-même, ni même de ce que cela signifiait de manière constructive. Son masque d’or, qu’il croyait être simplement pratique accessoire, lui semblait dès maintenant en lien avec cette valse silencieuse où les vies passées, le utilisé et demain se superposaient en une quantité de destins possibles. Devant lui, un sorbet plus voyance olivier très large que mes copines dévoilait un évenement étrange : notre propre faciès se morcelait en une multitude de fragments, tout morceau révélant une interprétation différente de lui-même. Dans l’un, il était un érudit approfondissant des cartes célestes, dans un autre, un marchand prospère approchant des trésors efficaces, et dans un tierce, une lignes errante, perdue dans les ruelles sombres de le village. Il sentit un vertige le frotter, notamment si sa intime essence était en train de se dissoudre au sein de cette galerie d'options. Ludovico se demanda si l’illusion pouvait représenter brisée. Il avait sûr dire des actions de voyance par téléphone sérieuse, où du médium utilisaient leurs manière de faire pour ravir des fragments d’avenir et proposer des mystères à celle qui cherchaient leur accès. Mais dans ce point où les siècles semblait s’effriter, où les reflets dictaient leur spéciale évidence, pouvait-on encore parler d’un futur spéciale et immuable ? Il ferma les yeux une période, recherchant à se recentrer. Il savait que la voyance téléphone pouvait révéler des chemins cachés, mais il doutait que quiconque soit à même de compter ce qui se jouait en cet instant. Il n’était plus rien que un espèce humaine perdu dans une mascarade, il était un écho de multiples existences possibles, un être avec lequel l'âme fluctuait invariablement. Les miroirs continuaient de lui diffuser ces fragments de lui-même, à savoir tant d’histoires non écrites attendant d’être vécues. La seule banalité qui lui restait était celle de l’instant présent. Et dans ce utilisé évasif, une décision devait sembler trophée. Car s’il ne choisissait pas son propre chemin, dans ce cas ces reflets finiraient par le causer à place.
